«Parution, en ce premier vendredi d’octobre, d’un disque très attendu … cette lecture au laser, qui possède une rigueur héritée de Bach, est donc admirable» (Le Devoir)

‘The seven ‘Friedemann’ preludes sound especially effective as rendered on the clavichord by Esfahani, his intimate fluctuations of dynamic and tempo drawn out with beguiling freedom and sensitivity of characterisation—one ends heart-rendingly with the final note almost inaudible, like a gasp. The same strength of inspiration is evident in the similarly miniaturised Inventions, and they are no less skilfully rendered on the clavichord … Esfahani considers each of these little jewels on its own merits, and by the time we have journeyed through almost-fugues and the twisting chromaticism of the F minor, the 16-foot stop is out for the 15th and last Sinfonia, all unworthy thoughts of smallness now firmly banished’ (Gramophone)

‘Refined nobility, compelling abandon, fluid articulation and unrestrained dynamics are all key factors that Hamelin brings to the music. It's as if he is so far above and beyond the technical pianistic requirements of the music that he can easily and freely reveal Beethoven's anima within the written score’ (Classical Music Sentinel)

«On peut certainement parler d’excellence. On peut parler de clarté absolue dans le propos pianistique, dans la caractérisation des voix, des thèmes et de l’architecture complexe de ce monumental édifice musical. On peut parler d’une lecture remarquable à bien des égards» (PAN M 360, Canada)

‘Given Marc-André Hamelin's unimpeachable technical prowess, it is no surprise that he tackles the epic Hammerklavier Sonata for his first recording of music by Beethoven. Hamelin's tempos are rapid, though well under Beethoven's unreasonably fast metronome markings. This allows lyrical passages to breathe expressively, and for Hamelin to apply a variety of colouring to Beethoven's many surprising harmonic shifts … unsurprisingly, the wild fourth movement fugue of the Hammerklavier is dispatched with exciting technical security. More surprisingly, this does not conclude the album, but instead we jump back 23 years to continue with Beethoven's third published sonata, Op 2 No 3 in C Major. This early work benefits from Hamelin's crisp articulations and sparkling passagework’ (The Whole Note, Canada)

«Le pianiste russe Andrey Gugnin, déjà très remarqué pour son agilité et son imagination vive, propose un récital Grieg un peu en dehors des sentiers battus. La Suite Holberg (1884), pour orchestre à cordes, est ici présentée dans sa version pianistique, dont l’interprétation restitue parfaitement son « style ancien » néo-baroque, tout en lui insufflant l'expressivité propre au romantisme du compositeur norvégien» (Classica, France)

«La riche polyphonie de sa messe frappe par son invention et son expressivité (les retards et les sonorités sombres du Christe eleison, le déchirant Et incarnatus). La bonne trentaine de chanteurs (!) s'empare de ce joyau avec ferveur : le contrepoint mouvant et la texture monumentale n'empêchent nullement le soin du détail et une surprenante transparence des lignes» (Diapason, France)

‘The results, full of the most surprising insights, are thoroughly convincing … it remains only to say that the solo male voices of The Binchois Consort are at the top of their form and that the presentation (with booklet material by Fitch and Andrew Kirkman) meets Hyperion’s top standards’ (Gramophone)

«Achevé en 1901, le Concerto n° 2 en ut mineur d'Emil von Sauer nous emmené dans le sillage de Liszt, qui fut son maitre. Dédiée a sa mère, l'oeuvre charme l'oreille dès l'entame du Moderato lamentoso (confiée au cor anglais rejoint par le hautbois) par sa richesse de timbres, et plus loin par sa tendresse sans affèterie, sa virtuosite souriante et ailée. Un rien plus sensible que celle d'Oleg Marshev et James Loughran ii y a vingt ans (Danacord), l’interprétation de Callaghan, magnifiquement soutenu par l'Orchestre symphonique de Saint-Gall et Modestas Pitrėnas, épouse l’élégance de cette partition divertissante» (Diapason, France)

«Vingt-sept ans après sa première lecture du Quatuor n° 15 de Schubert, le Quatuor Takács remet l'ouvrage sur le métier. À la version audacieuse et brillante gravée pour Decca en 1996, répond aujourd'hui la version de la maturité, marquée par une belle hauteur de vue: le grain et la chair sont restés, mais les couleurs se font plus automnales et les tempos plus modérés. Dès les premières secondes on admire la palette dynamique, qui souligne la versatilité des sentiments» (Classica, France)

«Les Takács abordent enfin l'ultime Quatuor n° 15 (1826) en sol majeur et en explorent l'éventail quasi infini de nuances dynamiques. Leur vision pleine de doutes, d'interrogations, se traduit par une lecture extrêmement subtile et raffinée, ou captivent la beauté des timbres, l'intériorisât ion des phrases. Dans ce jeu très engagé mais aux inflexions automnales, mélancoliques, voire désespérées, l'approfondissement rythmique a un rôle crucial. Ce « quatuor des frémissements » se colore ici de davantage d’errance, d'étrangeté, au-delà d'une transparence accrue de la texture, beaucoup plus miroitante que sous d'autres archets» (Diapason, France)

‘This has to be the best-sounding Fourth on disc—a vivid sense of acoustic and scale but with thrilling immediacy, too … having recently delivered a comparative review of the Fifth on BBC Radio 3 I am confident in saying that Mäkelä’s account would certainly have made the shortlist … the Sixth is marvellous … presumably we are getting the other symphonies? If so—auspicious and sonically outstanding’ (Gramophone)