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José Vianna da Motta
born: 22 April 1868
died: 31 May 1948
country: Portugal
José Vianna da Motta was one of the greatest pianists of his time, as well as a conductor, a teacher of international renown, a worthy musicologist and an important composer in the history of Portuguese music. Born in São Tomé in Africa in 1868, he left for Lisbon while still a child and soon began his music studies at the National Conservatory of Music. Also in Lisbon he received piano lessons from Joaquim de Azevedo Madeira.
The titular King of Portugal, Fernando II of Saxe-Coburg-Gotha, and the Countess of Edla, interested in guiding his precocious talent, awarded the young Vianna da Motta a scholarship in 1882 to study in Berlin at the Scharwenka Conservatory. Later, while a lodger at Frau Margarethe Lemke’s, he felt that his tuition at the Conservatory was unproductive, and he decided instead to pursue his studies with Professor Karl Schäffer. He rapidly earned an enviable reputation as a pianist in Berlin, frequently performing with that city’s Philharmonic Orchestra, as well as becoming a highly sought-after pedagogue, musicologist and conductor. In the summer of 1885 he went to Weimar to attend the masterclasses of Franz Liszt, an experience he would treasure for the rest of his life. Two years later he studied with Hans von Bülow, who not only had an important musical effect on the young man but also affected him deeply in a philosophical sense. Through this contact with Bülow, Vianna da Motta became a highly regarded interpreter and scholar of Beethoven.
Vianna da Motta remained in Berlin until the outbreak of war in 1914, giving frequent concerts in Europe and the Americas, appearing with such artists as Sarasate, Ysaÿe (with whom he performed in Carnegie Hall), Casals, Amalie Joachim and Busoni. Busoni dedicated a Mozart concerto cadenza to him as well as his transcriptions of Bach chorale preludes, and Vianna da Motta gave the premiere of Busoni’s transcription of Bach’s Toccata, Adagio and Fugue in C major. Albéniz also dedicated his piano work La Vega to him. With Busoni, Vianna da Motta embarked on a new complete edition of Liszt’s works for Breitkopf & Härtel. The two artists also collaborated on projects commemorating Beethoven and in Berlin performed Liszt’s transcription of Beethoven’s Ninth Symphony for two pianos.
After the outbreak of the First World War Vianna da Motta left Germany and accepted a position of professor of the ‘Classe de Virtuosité’ at the Geneva Conservatory, a post that had been held until his death by Bernhard Stavenhagen, another pupil of Liszt. He remained in Geneva, still touring as a concert pianist, until 1917, when he returned to Portugal, where he was resident for the rest of his life. Upon his return to Lisbon, Vianna da Motta became Chief Conductor of the Lisbon Symphony Orchestra. In this capacity he gave the Portuguese premieres of works such as Brahms’s Third Symphony, Saint-Saëns’s Phaéton, Berlioz’s Roméo et Juliette and Debussy’s Prélude à l’après-midi d’un faune.
In 1919 Vianna da Motta accepted the position of Director at the National Conservatory of Music in Lisbon and immediately undertook important reforms of the curriculum, including the opposition to the culture of Italian opera, which has dominated Portuguese musical culture during the eighteenth and nineteenth centuries, and the introduction of instrumental repertoire. Alongside these endeavours, Vianna da Motta established the Lisbon Concert Society in 1917 in order to create a new ‘taste’ for music among the Portuguese public.
After his return to Portugal, Vianna da Motta’s career gradually restricted itself to his homeland as his duties took more of his time and energy. He still left a small but important recorded legacy including works of Busoni, Liszt and Chopin, as well as his own music; he also made some piano rolls for the Welte-Mignon firm. These few performances, along with an amazing recorded performance of Liszt’s Totentanz conducted by Pedro de Freitas Branco in what proved to be Vianna da Motta’s final concert appearance, give us a clear view of Vianna da Motta the pianist, the musician and the thinker.
Vianna da Motta died in Lisbon in 1948. His music lives on in the spirit of Portuguese nationalism: its importance cannot be better illustrated than when his folk-dance Chlula was broadcast repeatedly on Portuguese State Television (RTP) during the Revolution of 1974, when Portugal became a Democratic Republic. It was this work that best illustrated the momentous occasion of the resurgence of Portuguese national pride.
Chef d’orchestre, professeur de renommée internationale, musicologue remarquable et compositeur clé de l’histoire de la musique portugaise, José Vianna da Motta fut l’un des plus grands pianistes de son temps. Né à São Tomé en 1868, il était encore enfant lorsqu’il gagna Lisbonne, où il entreprit bientôt d’étudier la musique au Conservatoire national, tout en recevant des leçons de piano de Joaquim de Azevedo Madeira.
En 1882, soucieux de guider ce talent précoce, le roi nominal du Portugal, Fernando II de Saxe-Cobourg-Gotha, et la comtesse d’Edla lui accordèrent une bourse pour qu’il allât étudier à Berlin, au Conservatoire Scharwenka. Mais, alors qu’il était pensionnaire chez Frau Margarethe Lemke, Vianna da Motta sentit que ses cours au Conservatoire étaient stériles et résolut de poursuivre ses études auprès du professeur Karl Schäffer. À Berlin, il se conquit rapidement une réputation de pianiste, jouant souvent avec l’Orchestre Philharmonique de la ville, tout en devenant un pédagogue, un musicologue et un chef d’orchestre fort prisé. En 1885, il se rendit à Weimar, en été, pour assister aux masterclasses de Franz Liszt—une expérience qu’il allait chérir toute sa vie. En 1887, il étudia avec Hans von Bülow, qui exerça sur lui une profonde influence musicale et philosophique. Ce contact avec von Bülow fit de Vianna da Motta un interprète et un spécialiste de Beethoven des plus respectés.
Vianna da Motta demeura à Berlin jusqu’au début de la guerre, en 1914, donnant de fréquents concerts en Europe et dans les Amériques, aux côtés d’artistes comme Sarasate, Ysaÿe (avec qui il se produisit au Carnegie Hall), Casals, Amalie Joachim et Busoni—lequel lui dédia une cadenza d’un concerto de Mozart et ses transcriptions de préludes-choral de Bach. Vianna da Motta donna, en outre, la première de la transcription busonienne de la Toccata, de l’Adagio et de la Fugue en ut majeur de Bach, et fut le dédicataire de la pièce pour piano d’Albéniz intitulée La Vega. Avec Busoni, Vianna da Motta se lança dans une nouvelle édition complète des œuvres de Liszt pour Breitkopf & Härtel. Les deux artistes collaborèrent également à des projets commémorant Beethoven, compositeur dont ils interprétèrent, à Berlin, la transcription lisztienne de la Neuvième symphonie, pour deux pianos.
Après le début de la Première Guerre mondiale, Vianna da Motta quitta l’Allemagne et accepta un poste de professeur de la «classe de virtuosité» au Conservatoire de Genève—poste qu’avait tenu, jusqu’à sa mort, Bernhard Stavenhagen, un autre élève de Liszt. Sans abandonner ses tournées de concerts, Vianna da Motta demeura à Genève jusqu’en 1917, date à laquelle il rentra définitivement au Portugal. Là, devenu chef d’orchestre principal de l’Orchestre symphonique de Lisbonne, il assura les premières portugaises d’œuvres comme la Troisième symphonie de Brahms, Phaéton de Saint-Saëns, Roméo et Juliette de Berlioz et Prélude à l’après-midi d’un faune de Debussy.
En 1919, il accepta le poste de directeur du Conservatoire national de musique, toujours à Lisbonne. Entreprenant d’emblée d’importantes réformes du programme d’enseignement, il s’opposa notamment à la culture de l’opéra italien, qui avait dominé la culture musicale portugaise des XVIIIe et XIXe siècles, et introduisit le répertoire instrumental—rappelons que, désireux de susciter, chez ses compatriotes, un nouveau «goût» pour la musique, il avait déjà fondé, en 1917, la Société des concerts de Lisbonne.
Une fois rentré au Portugal, Vianna da Motta vit peu à peu sa carrière se restreindre à son pays, où ses fonctions lui prenaient beaucoup de temps et d’énergie. Il laissa toutefois un petit, mais essentiel, legs d’enregistrements, comprenant notamment, outre sa propre musique, des œuvres de Busoni, de Liszt et de Chopin; il réalisa également des rouleaux pour la firme Welte-Mignon. Ces quelques interprétations, ainsi qu’un époustouflant enregistrement de la Totentanz de Liszt, sous la direction de Pedro de Freitas Branco (lors de ce qui devait être la dernière apparition du concertiste), nous donnent clairement à voir le Vianna da Motta pianiste, musicien et penseur.
La musique de Vianna da Motta, mort à Lisbonne en 1948, survit dans l’âme du nationalisme portugais, comme l’attestent les multiples diffusions de sa danse populaire Chlula, à la Télévision nationale portugaise (RTP), lors de la Révolution de 1974, qui vit le Portugal accéder à la démocratie. Cette œuvre fut celle qui symbolisa le mieux cette mémorable résurgence de la fierté nationale portugaise.
José Vianna da Motta war einer der größten Pianisten seiner Epoche, außerdem Dirigent, Lehrer von internationalem Rang, verdienstvoller Musikwissenschaftler und einer der bedeutenden Komponisten in der Geschichte der porugiesischen Musik. Geboren 1868 im afrikanischen São Tomé, siedelte er noch als Kind nach Lissabon um und nahm bald seine Musikausbildung am Conservatório Nacional de Música auf. In Lissabon erhielt er auch Klavierunterricht von Joaquim de Azevedo Madeira.
Der portugiesische Regent Ferdinand II. von Sachsen-Coburg-Gotha und die Gräfin von Edla, die diese frühe Begabung fördern wollten, gewährten dem jungen Vianna da Motta 1882 ein Stipendium zum Studium am Berliner Scharwenka-Konservatorium. Später, als Untermieter bei Frau Margarethe Lemke, empfand er den Unterricht am Konservatorium als unproduktiv und beschloß, seine Ausbildung bei Professor Karl Schäffer fortzusetzen. Er erwarb sich in Berlin rasch einen beneidenswerten Ruf als Pianist und trat häufig mit dem philharmonischen Orchester der Stadt auf; daneben wurde er zum gefragten Pädagogen, Musikforscher und Dirigenten. Im Sommer 1885 ging er nach Weimar, um die Meisterklassen von Franz Liszt zu besuchen, eine Erfahrung, die er sein ganzes Leben lang in hohen Ehren halten sollte. Zwei Jahre später studierte er bei Hans von Bülow, der nicht nur musikalisch, sondern auch philosophisch tiefen Einfluß auf den jungen Mann ausübte. Durch seine Verbindung zu Bülow wurde Vianna da Motta ein hochangesehener Beethoven-Interpret und -Kenner.
Vianna da Motta blieb bis zum Kriegsausbruch 1914 in Berlin und gab zahlreiche Konzerte in Europa sowie Nord- und Südamerika, wo er mit Künstlern wie Sarasate, Ysaÿe (in der Carnegie Hall), Casals, Amalie Joachim und Busoni auftrat. Busoni widmete ihm seine Kadenz für ein Mozart-Konzert sowie seine Transkriptionen Bach’scher Choralvorspiele, und Vianna da Motta besorgte die Uraufführung von Busonis Bearbeitung von Bachs Toccata, Adagio und Fuge in C-Dur. Albéniz widmete ihm seine Klavierkomposition La Vega. Zusammen mit Busoni machte sich Vianna da Motta für Breitkopf & Härtel an die Herausgabe einer vollständigen neuen Liszt-Edition. Die beiden Künstler arbeiteten außerdem an Projekten zum Gedenken an Beethoven zusammen und führten in Berlin Liszts Transkription von Beethovens Neunter Sinfonie für zwei Klaviere auf.
Nach Ausbruch des Ersten Weltkriegs verließ Vianna da Motta Deutschland und nahm die Professur der „Classe de Virtuosité“ am Genfer Konservatorium an—diesen Posten hatte Bernhard Stavenhagen, ein weiterer Liszt-Schüler, bis zu seinem Tod innegehabt. Vianna da Motta blieb (bis auf weitere Tourneen als Konzertpianist) bis 1917 in Genf, um dann nach Portugal zurückzukehren, wo er den Rest seines Lebens ansässig war. Bei seiner Rückkehr nach Lissabon wurde er zum Chefdirigenten des Lissabonner Sinfonieorchesters berufen. In dieser Eigenschaft gab er die portgiesische Erstaufführung von Werken wie Brahms’ Dritter Sinfonie, Saint-Saëns’ Phaéton, Berlioz’ Roméo et Juliette und Debussys Prélude à l’après-midi d’un faune.
Im Jahre 1919 wurde Vianna da Motta zum Direktor des Conservatório Nacional de Música in Lissabon berufen und nahm sofort wesentliche Reformen am Lehrplan in Angriff, um beispielsweise der Kultur der italienischen Oper entgegenzuwirken, die das portugiesische Musikleben des achtzehnten und neunzehnten Jahrhunderts beherrscht hatte, und die Einführung eines Instrumentalrepertoires zu betreiben. Daneben gründete Vianna da Motta 1917 den Lissabonner Konzertverein, um dem portugiesischen Publikum neue Lust auf Musik zu machen.
Nach seiner Rückkehr nach Portugal beschränkte sich Vianna da Mottas Schaffen immer mehr auf seine Heimat, da seine dortigen Pflichten einen größeren Teil seiner Zeit und Energie beanspruchten. Immerhin hinterließ er eine kleine Anzahl bedeutender Aufnahmen auf Tonträger, darunter Werke von Busoni, Liszt und Chopin sowie seine eigenen Kompositionen; überdies bespielte er für die Firma Welte-Mignon mehrere Klavierrollen. Diese wenigen Darbietungen sowie die Aufzeichnung einer erstaunlichen Aufführung von Liszts Totentanz unter der Leitung von Pedro de Freitas Branco (die sich als Vianna da Mottas letztes Konzert erweisen sollte) verschaffen uns ein klares Bild von Vianna da Motta, dem Pianisten, Musiker und Denker.
José Vianna da Motta starb 1948 in Lissabon. Seine Musik lebt im Geiste des portugiesischen Nationalismus fort: Seine Bedeutung läßt sich nicht besser illustrieren als damit, daß sein Volkstanz Chlula während der Revolution von 1974, als Portugal zur demokratischen Republik wurde, mehrmals vom Portugiesischen Staatsfernsehen (RTP) ausgestrahlt wurde. Dieses Werk veranschaulichte am besten die besondere Bedeutung des Anlasses—das Wiedererstehen des portugiesischen Nationalstolzes.
José Vianna da Motta foi um dos grandes pianistas do seu tempo, bem como maestro, professor de renome internacional, conceituado musicólogo e um importante compositor na história da música portuguesa. Nascido em São Tomé e Príncipe em 1868, partiu para Lisboa ainda criança e iniciou os seus estudos musicais do Conservatório Nacional de Música. Ainda em Lisboa, recebeu lições de piano de Joaquim de Azevedo Madeira.
O rei de Portugal, D. Fernando II de Saxe-Coburgo-Gota, e a condessa de Edla, interessados na orientação do seu precioso talento, concederam ao jovem Vianna da Motta uma bolsa, em 1882, para estudar no Conservatório Scharwenka de Berlim. Mais tarde, sendo hóspede de Frau Margarethe Lemke, sentiu que o seu ensino no Conservatório não era produtivo, e resolveu prosseguir os estudos com o professor Karl Schäffer. Depressa granjeou uma reputação invejável como pianista em Berlim, actuando frequentemente com a Orquestra Filarmónica da cidade, e tornando-se igualmente um pedagogo, musicólogo e maestro muito procurado. No Verão de 1885, foi a Weimar para assistir às lições de Franz Liszt, uma experiência que iria considerar de grande valor para o resto da vida. Dois anos mais tarde, estudou com Hans von Bülow, o qual teve não só um importante efeito musical no jovem como também o afectou profundamente no sentido filosófico. Através do seu contacto com Bülow, Vianna da Motta tornou-se um intérprete e estudioso de Beethoven altamente conceituado.
Vianna da Motta permaneceu em Berlim até à eclosão da guerra de 1914, dando frequentes concertos na Europa e nas Américas, apresentando-se com artistas como Sarasate, Ysaÿe (com quem actuou no Carnegie Hall), Casals, Amalie Joachim e Busoni. Busoni dedicou-lhe uma cadenza de concerto de Mozart bem como as suas transcrições dos prelúdios corais de Bach, e Vianna da Motta fez a estreia da transcrição da Tocata, Adágio e Fuga em Dó maior de Bach feita por Busoni. Albéniz também lhe dedicou a sua obra para piano La Vega. Com Busoni, Vianna da Motta iniciou uma nova edição completa das obras de Liszt para a Breitkopf & Härtel. Os dois artistas colaboraram também em projectos de comemoração de Beethoven e apresentaram em Berlim a transcrição de Liszt da Nona Sinfonia de Beethoven para dois pianos.
Após a eclosão da Primeira Guerra Mundial, Vianna da Motta abandonou a Alemanha e aceitou um cargo de professor da ‘Classe de Virtuosité’ no Conservatório de Genebra, um lugar que pertencera a Bernhard Stavenhagen, outro discípulo de Liszt, até à sua morte. Permaneceu em Genebra, embora fazendo digressões como pianista de concerto, até 1917, quando regressou a Portugal, onde residiu até ao fim da vida. Após o seu regresso a Lisboa, Vianna da Motta tornou-se Maestro Director da Orquestra Sinfónica de Lisboa. Nesta qualidade fez estreias em Portugal de obras como a Terceira Sinfonia de Brahms, o Phaéton de Saint-Saëns, Roméo et Juliette de Berlioz e o Prélude à l’après-midi d’un faune de Debussy.
Em 1919 Vianna da Motta aceitou o cargo de Director do Conservatório Nacional de Música em Lisboa, e logo efectuou importantes reformas no currículo, incluindo a oposição à cultura da ópera italiana, que dominara a cultura musical portuguesa ao longo dos séculos XVIII e XIX, e a introdução de repertório instrumental. Concomitantemente com estas diligências, Vianna da Motta criou a Sociedade de Concertos de Lisboa em 1917, a fim de criar um novo ‘gosto’ pela música entre o público português.
Depois do seu regresso a Portugal, a carreira de Vianna da Motta foi ficando gradualmente restringida ao seu país, à medida que as suas ocupações lhe tomavam mais tempo e energia. Deixou ainda assim um importante legado gravado incluindo obras de Busoni, Liszt e Chopin, bem como da sua própria música; fez também alguns registos de piano para a firma Welte-Mignon. Estas poucas actuações, juntamente com uma espantosa interpretação gravada da Totentanz de Liszt, com direcção de Pedro de Freitas Branco, no que viria a ser a última apresentação de Vianna da Motta em concerto, dão-nos uma visão clara de Vianna da Motta como pianista, como músico e como pensador.
Vianna da Motta morreu em Lisboa em 1948. A sua música permanece no espírito do nacionalismo luso: a sua importância não pode ficar melhor ilustrada do que quando a sua dança popular Chlula foi transmitida repetidamente pela Rádio Televisão Portuguesa (RTP) durante a revolução de 1974, quando Portugal se tornou uma República Democrática. Foi esta obra que melhor ilustrou a importante ocasião da ressurgência do orgulho nacional português.