Laudes organi is Kodály’s last completed work. Commissioned by the Atlanta Chapter of the American Guild of Organists, it is subtitled ‘Fantasia on a XIIth century Sequence’. (The Latin sequence in question is from a twelfth-century manuscript in Engelberg Monastery, Switzerland.) This piece is notable for its imposing organ introduction and interludes, and for its assured integration of post-Lisztian chromatic harmony with the earlier vocal traditions of Western art music. Its triumphant conclusion marks a fitting end to the career of a composer whose contribution to the Hungarian choral tradition remains unrivalled.
from notes by Paul Wingfield © 2000
Le
Laudes organi est la dernière oeuvre achevée de Kodály. Commandée par le Chapitre d’Atlanta de la Confrérie Américaine des Organistes, elle porte le sous-titre «Fantaisie sur une séquence du XIIe siècle». (La séquence latine dont il s’agit est tirée d’un manuscrit du XIIe siècle conservé au monastère d’Engelberg, en Suisse.) Cette œuvre se distingue non seulement par le caractère imposant de son introduction et de ses interludes d’orgue, mais aussi par la maîtrise avec laquelle y sont intégrées l’harmonie chromatique post-lisztienne et les anciennes traditions vocales de la musique d’art occidentale. Sa conclusion triomphante fournit un point final approprié à la carrière d’un compositeur dont la contribution à la tradition chorale de la musique hongroise demeure sans égal.
extrait des notes rédigées par Paul Wingfield © 2000
Français: Atlas Translations
Laudes organi ist das letzte Werk, das Kodály fertigstellte. Vom Atlanta Chapter der American Guild of Organists in Auftrag gegeben, trägt dieses Stück den Untertitel „Fantasie über eine Sequenz aus dem XII. Jahrhundert“. (Die betreffende lateinische Sequenz stammt aus einem Manuskript aus dem 12. Jahrhundert im Schweizer Kloster Engelbert.) Dieses Stück ist bemerkenswert angesichts der imposanten Orgelintroduktion und -zwischenspiele sowie für seine sichere Integration von post-Liszt’scher chromatischer Harmonie und den früheren Gesangstraditionen der westlichen Kunstmusik. Sein triumphierender Schluß stellt ein passendes Ende für die Karriere eines Komponisten dar, dessen Beitrag zur ungarischen Chortradition unerreicht bleibt.
aus dem Begleittext von Paul Wingfield © 2000
Deutsch: Atlas Translations