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'The idea is to make a musical journey through all that is quirky and extraordinary, humorous and profound in Haydn. Hopefully this pasticcio will give a picture of the composer who most summed up all the ideals of the Enlightenment, of intelligence, respect, humour, wit and profound thought' (Sir Simon Rattle)
The Creation Hob XXI:2
First performed in 1798, The Creation was inspired by Handel’s oratorio performances that Haydn heard during his visits to London, and has a libretto based on Milton’s Paradise Lost and the Biblical book of Genesis. The first words of the latter suggested the introductory ‘Representation of Chaos’, with its restless harmony and fragmentary phrases: ‘In the beginning God created heaven and earth. And the earth was without form and void.’
The Seven Last Words of our Saviour on the Cross Hob XX:1
The Seven Last Words of our Saviour on the Cross was written in 1786 for a Good Friday service the following year in the grotto of Santa Cuerva at Cádiz in southern Spain. An Introduction and seven slow movements, to follow seven sermons on Christ’s Last Words, are followed by a violent finale representing ‘The Earthquake’, which destroyed the Temple after the Crucifixion.
L’isola disabitata (The Desert Island) Sinfonia – Hob Ia:13 / Opera – Hob XXVIII:9
Haydn’s little-known operatic output includes L’isola disabitata, written for Eszterháza in 1779: not a comic opera, nor a dynastic tragedy, but a psychological drama about two sisters who have been marooned on the desert island of the title for 13 years. The four-part Sinfonia, or overture, depicts the wild setting, and the suicidal state of mind of the elder sister as the curtain rises.
Symphony No 64 Hob I:64
Symphony No 64, written in or around 1773, has a slow movement in which the regular rhythmic flow is frequently disrupted, and cadences at the end of phrases are several times split into disjointed fragments.
Symphony No 6 ‘Le matin’ Hob I:6
Symphony No 6 is the first of a triptych called ‘Morning’, ‘Noon’, and ‘Night’, which Haydn composed in 1761, shortly after entering the service of the Esterházy court, to show off his new orchestral colleagues’ talents, collective and individual. The Minuet has a solo for the flute, and its Trio features the bassoon, joined later by viola, cello and double bass.
Symphony No 46 Hob I:46
Symphony No 46 of 1772 has a Finale full of unpredictable changes of direction—notably a digression into triple time which recalls the preceding Minuet.
Symphony No 60 ‘Il distratto’ Hob I:60
Symphony No 60 is an adaptation of incidental music that Haydn wrote in 1774 for a play called The Absent-Minded Man. The character’s absent-mindedness is symbolised by a discovery made by the violins early in the Finale—a movement that later incongruously throws in a traditional night watchman’s song.
The Seasons Hob XXI:3
Haydn’s second German oratorio, The Seasons, first performed in Vienna in 1801, depicts the turning year in the countryside. Its final section has an orchestral introduction—performed here in Haydn’s substantially longer original version—in which sombre, groping harmonies depict ‘the thick fogs at the beginning of winter’.
Symphony No 45 ‘Farewell’ Hob I:45
The ‘Farewell’ Symphony, No 45, dates from the summer of 1772, when Haydn’s orchestral musicians were forced to stay on at Eszterháza, without their families, for much longer than usual. The Finale, in Haydn’s vehement ‘storm and stress’ manner of the time, has an extended slow coda in which the players take their leave one by one. (To his credit, the Prince got the message and ordered departure the following day.)
Music for Musical Clocks Hob XIX:1-32
This leaves the platform empty for some music by Haydn which needs no live performers: a selection from his works for mechanical organ, in which clockwork turns a barrel studded with pins which operate miniature organ pipes. Haydn wrote or arranged 17 pieces in 1788-9 and 1793 for instruments of this kind constructed by his orchestral librarian Father Primitivus Niemecz—four of which have survived to provide us with valuable evidence of a fascinating corner of musical history.
Symphony No 90 Hob I:90
Haydn’s Symphony No 90 is the first of a group of three symphonies written in 1788-9 to fulfil commissions from a French Count and a south German Prince for their respective orchestras. The racing finale includes a cunning trap for an audience eager to applaud.
Anthony Burton © 2018
La Création Hob XXI:2
Donné pour la première fois en 1798, La Création s’inspire des oratorios de Haendel que Haydn entendit lors de ses séjours à Londres; le livret en est fondé sur Le Paradis perdu de Milton et le livre biblique de la Genèse. Ce sont les premiers mots de la Genèse qui ont suggéré la «Représentation du chaos» introductive, avec son harmonie instable et ses phrases fragmentaires: «Au commencement Dieu créa les cieux et la terre. La terre était informe et vide.»
Les Sept Dernières Paroles de Notre Sauveur en Croix Hob XX:1
Les Sept Dernières Paroles de Notre Sauveur en Croix fut écrit en 1786 pour un service du Vendredi saint de l’année suivante dans l’oratoire de la Sainte Grotte, à Cadix, en Andalousie. Une Introduction et sept mouvements lents, chacun venant après un sermon sur les derniers mots du Christ, sont suivis d’un finale violent représentant «Le Tremblement de terre» qui détruisit le Temple après la Crucifixion.
L’isola disabitata (L’Île déserte) Sinfonia – Hob Ia:13 / opéra – Hob XXVIII:9
La production lyrique peu connue de Haydn comprend L’isola disabitata, écrit pour Eszterháza en 1779: ce n’est ni un opéra comique, ni une tragédie dynastique, mais un drame psychologique sur deux sœurs qui se retrouvent abandonnées sur l’île déserte du titre pendant treize ans. La Sinfonia ou ouverture en quatre mouvements dépeint le cadre sauvage et l’état d’esprit suicidaire de l’aînée des sœurs au lever du rideau.
Symphonie nº 64 Hob I:64
La Symphonie nº 64, écrite en 1773 environ, comporte un mouvement lent dans lequel le flot rythmique régulier est fréquemment perturbé, tandis que les cadences aux fins de phrases sont plusieurs fois divisées en fragments disjoints.
Symphonie nº 6 «Le Matin» Hob I:6
La Symphonie nº 6 est la première d’un triptyque intitulé «Le Matin», «Le Midi» et «Le Soir», que Haydn composa en 1761, peu de temps après être entré au service des Esterházy, pour faire valoir les talents, collectifs et individuels, de ses nouveaux collègues orchestraux. Le menuet comporte un solo pour flûte, et le trio fait entendre le basson, rejoint ensuite par l’alto, le violoncelle et la contrebasse.
Symphonie nº 46 Hob I:46
Le finale de la Symphonie nº 46 de 1772 est plein de changements de direction imprévisibles—notamment une digression en mesure ternaire qui rappelle le menuet précédent.
Symphonie nº 60 «Il distratto» Hob I:60
La Symphonie nº 60 est une adaptation de la musique de scène que Haydn écrivit en 1774 pour une pièce intitulée Le Distrait. Le caractère distrait du personnage est symbolisé par une découverte que font les violons dès le début du finale—mouvement qui fait ensuite entendre, de manière incongrue, un chant traditionnel de veilleur de nuit.
Les Saisons Hob XXI:3
Le deuxième oratorio allemand de Haydn, Les Saisons, créé à Vienne en 1801, dépeint le cycle de l’année à la campagne. La dernière section est précédée d’une introduction orchestrale—jouée ici dans la version originale de Haydn, sensiblement plus longue—dans laquelle des harmonies sombres et tâtonnantes représentent «les épais brouillards au début de l’hiver».
Symphonie nº 45 «Les Adieux» Hob I:45
La Symphonie nº 45, «Les Adieux», date de l’été de 1772, lorsque les musiciens d’orchestre de Haydn furent contraints de rester à Eszterháza, sans leur famille, beaucoup plus longtemps que d’habitude. Le finale, dans le style Sturm und Drang véhément que Haydn cultivait alors, comporte une longue coda lente dans laquelle les musiciens prennent congé l’un après l’autre. (Le prince eut le mérite de bien comprendre le message et d’ordonner le départ le lendemain.)
Musique pour horloge musicale Hob XIX:1-32
La scène reste donc vide pour des pièces de Haydn qui n’ont pas besoin d’interprètes en chair et en os: un choix de ses oeuvres pour orgue mécanique, dans lequel un mécanisme d’horloge fait tourner un cylindre hérissé de picots qui actionnent des tuyaux d’orgue miniatures. Haydn écrivit ou arrangea dix-sept pièces en 1788-89 et 1793 pour des instruments de ce genre, construits par le bibliothécaire de son orchestre, le père Primitivus Niemecz—dont quatre ont survécu pour nous livrer un précieux témoignage sur un recoin fascinant de l’histoire de la musique.
Symphonie nº 90 Hob I:90
La Symphonie nº 90 de Haydn est la première d’un groupe de trois écrites en 1788-1789 en réponse à des commandes d’un comte français et d’un prince d’Allemagne du sud pour leur orchestre respectif. Le finale très rapide comporte un piège habile pour un public trop pressé d’applaudir.
Anthony Burton © 2018
Français: Dennis Collins
Die Schöpfung Hob. XXI:2
Die Anregung zu der 1798 erstmals aufgeführten Schöpfung ging auf Händels Oratorien zurück, deren Aufführungen Haydn während seiner Londonbesuche hörte; das Libretto beruht auf Miltons Paradise Lost sowie auf dem 1. Buch Mose. Dessen erste Worte klingen in der Einleitung „Die Vorstellung des Chaos“ mit ihren rastlosen Harmonien und fragmentarischen Phrasen an: „Im Anfange schuf Gott Himmel und Erde, und die Erde war ohne Form und leer.“
Die sieben letzten Worte unseres Erlösers am Kreuze Hob. XX:1
Die sieben letzten Worte unseres Erlösers am Kreuze schrieb Haydn 1786 für eine Karfreitags-Messe im folgenden Jahr in der Höhle Santa Cueva in Cádiz im Süden Spaniens. An eine Einleitung und sieben langsame Sätze, die sieben Predigten über die letzten Worte Christi folgen, schließt sich ein heftiges Finale an, das „Das Erdbeben“ versinnbildlicht, welches den Tempel nach der Kreuzigung zerstörte.
L’isola disabitata (Die unbewohnte Insel) Sinfonia – Hob. Ia:13 / Oper – Hob. XXVIII:9
Zum eher unbekannten operatischen Schaffen Haydns gehört L’isola disabitata, entstanden 1779 für Esterháza: weder eine komische Oper noch eine dynastische Tragödie, sondern ein psychologisches Drama über zwei Schwestern, die seit 13 Jahren auf der titelgebenden Insel gestrandet sind. Die vierteilige Sinfonia, oder Ouvertüre, schildert die dramatische Kulisse und die selbstmörderische Geistesverfassung der älteren Schwester, als sich der Vorhang hebt.
Sinfonie Nr. 64 Hob. I:64
Die 64. Sinfonie, um 1773 geschrieben, hat einen langsamen Satz, in dem der regelmäßige rhythmische Fluss vielfach unterbrochen wird, und die Kadenzen am Ende der Phrasen werden mehrfach in unzusammenhängende Fragmente aufgebrochen.
Sinfonie Nr. 6 „Le matin“ Hob. I:6
Die 6. Sinfonie ist die erste eines Triptychons mit den Titeln „Der Morgen“, „Der Mittag“ und „Der Abend“, das Haydn 1761 komponierte, also bald nachdem er in den Dienst des Hofs der Esterházy getreten war. Er wollte damit die individuellen und kollektiven Fähigkeiten seiner neuen Orchesterkollegen zur Geltung bringen.
Sinfonie Nr. 46 Hob. I:46
Im Finale der 46. Sinfonie aus dem Jahr 1772 verändert sich unberechenbar immer wieder die Richtung. Auffallend ist dabei insbesondere ein Exkurs in einen Dreiertakt, der das vorhergehende Menuett aufgreift.
Sinfonie Nr. 60 „Il distratto“ Hob. I:60
Die 60. Sinfonie ist die Umarbeitung einer Gelegenheitsmusik, die Haydn 1774 für das Theaterstück Der Zerstreute geschrieben hatte. Die Zerstreutheit des Protagonisten wird durch eine Entdeckung symbolisiert, die die Geigen zu Anfang des Finales machen—ein Satz, in dem später überraschend auch ein traditionelles Nachtwächterlied erklingt.
Die Jahreszeiten Hob. XXI:3
Haydns zweites Oratorium in deutscher Sprache, Die Jahreszeiten, erstmals 1801 in Wien aufgeführt, versinnbildlicht den Jahresablauf auf dem Land. Im abschließenden Teil erklingt eine Orchestereinleitung—hier in der ursprünglichen, wesentlich längeren Version gespielt—, in der düstere, tastende Harmonien den dichten Nebel zu Beginn des Winters darstellen.
Sinfonie Nr. 45 „Abschiedssinfonie“ Hob. I:45
Die „Abschiedssinfonie“ Nr. 45 stammt aus dem Sommer 1772, als Haydns Orchestermusiker, getrennt von ihren Familien, wesentlich länger als üblich in Esterháza bleiben mussten. Das Finale, das in Haydns damaliger heftiger „Sturm und Drang“-Manier gehalten ist, hat eine ausgedehnte, langsame Coda, in der die Musiker nacheinander die Bühne verlassen. (Zur Ehrenrettung des Fürsten sei gesagt, dass er die Botschaft verstand und den Aufbruch für den folgenden Tag ansetzte.)
Flötenuhrmusik Hob. XIX:1-32
Hier bleibt die Bühne leer, denn diese Musik kommt ohne Instrumentalisten aus: eine Auswahl von Haydns Werken für Flötenuhr, bei der ein Uhrwerk eine mit Stiften besetzte Walze dreht, die winzige Orgelpfeifen betätigen. Haydn schrieb 1788/89 und 1793 siebzehn Stücke für derartige Instrumente, die der Bibliothekar Pater Primitivus Niemecz baute—vier davon sind noch erhalten und geben einen wertvollen Einblick in eine spannende Nische der Musikgeschichte.
Sinfonie Nr. 90 Hob. I:90
Haydns 90. Sinfonie ist die erste von drei Sinfonien, die er 1788/89 schrieb, um die Aufträge eines französischen Grafen und eines süddeutschen Fürsten für ihre jeweiligen Orchester zu erfüllen. Zum rasanten Finale gehört eine listige Falle für ein Publikum, das allzu eifrig Beifall klatschen möchte.
Anthony Burton © 2018
Deutsch: Ursula Wulfekamp